Lynchages ordinaires

22,00

« Pour être lyncheur, il ne faut pas nécessairement être un monstre… Il suffit d’être témoin d’un mal que l’on voudrait rectifier. »

L’histoire : Après une rupture, Johan part au Brésil pour se déconnecter de sa vie en France et des réseaux sociaux, qui occupent une grande place dans sa vie de militant.
Sur place, il découvre Rio et son carnaval, la fête, les costumes mais aussi un aspect plus sombre du quotidien brésilien : les lynchages. Pris dans l’euphorie de la foule, il assiste au passage à tabac d’un homme que les « justiciers » présentent comme un voleur. Tous deux seront secourus par Marcela, militante contre les lynchages publics. Johan se lie d’amitié avec elle et découvre à ses côtés la terrible réalité d’un pays où, par manque de confiance à l’égard des autorités, certains ont choisi de faire justice eux-mêmes… Un récit coup de poing qui questionne notre perception de la justice et la présomption de culpabilité à l’heure des réseaux sociaux.

Cette BD m’a fait froid dans le dos. Elle dénonce un fait de société alarmant dont j’ignorais l’existence. Le sujet est abordé sur fond de carnaval de Rio, les auteurs jouent ainsi sur un antagonisme total et rendent leurs propos encore plus percutants. De plus, les témoignages des victimes et de leurs proches participent à rendre le phénomène des lynchages très palpable.
Les lynchages ordinaires sont actuels, la violence inouïe, les traumatismes terribles, les solutions pour l’heure inefficaces… Voici une BD nécessaire et bouleversante.
Elle pousse à la réflexion : à quel moment n’avons-nous plus confiance ni en la police ni en la justice pour ressentir le besoin de se faire justice soi-même ?

Et découvrez toute notre sélection de BD sur la culture et le voyage.


BON PLAN   〉 5€ de réduction sur un tote bag pour l’achat de cette BD    〉DÉCOUVRIR

En stock

Description

Mots de l’éditeur :

Après une rupture, Johan part au Brésil pour se déconnecter de sa vie en France et des réseaux sociaux. Ces réseaux sociaux qui occupent une grande place dans sa vie de militant. Sur place, il découvre Rio et son carnaval, la fête, les costumes mais aussi un aspect plus sombre : les lynchages. Pris dans l’euphorie de la foule, il assiste au passage à tabac d’un homme que les « justiciers » présentent comme un voleur. Tous deux seront secourus par Marcela, militante contre les lynchages publics. Johan se lie d’amitié avec elle. Il découvre à ses côtés la terrible réalité d’un pays où, par manque de confiance à l’égard des autorités, certains ont choisi de faire justice eux-mêmes…
Un récit coup de poing qui questionne notre perception de la justice et la présomption de culpabilité à l’heure des réseaux sociaux.

« Pour être lyncheur, il ne faut pas nécessairement être un monstre… Il suffit d’être témoin d’un mal que l’on voudrait rectifier. »

Le Davanh Zoom :

Cette BD m’a fait froid dans le dos. Elle dénonce un fait de société alarmant dont j’ignorais l’existence. Le sujet est abordé sur fond de carnaval de Rio, les auteurs jouent ainsi sur un antagonisme total et rendent leurs propos encore plus percutants. De plus, les témoignages des victimes et de leurs proches participent à rendre le phénomène des lynchages très palpable.
Les lynchages ordinaires sont actuels, la violence inouïe, les traumatismes terribles, les solutions pour l’heure inefficaces… Voici une BD nécessaire et bouleversante.
Au final, elle pousse à la réflexion : à quel moment n’avons-nous plus confiance ni en la police ni en la justice pour ressentir le besoin de se faire justice soi-même ?

Pour en savoir plus sur cette BD, allez faire un tour sur le site de l’éditeur Çà et Là 🙂
Et découvrez toute notre sélection de BD sur la culture et le voyage.

 

Informations complémentaires

Poids 0.490 kg
Dimensions 19 × 26.5 cm
Scénario

Léa Ducré, Benjamin Hoguet & Morgann Jezequel

Dessin

Héloïse Chochois & Victoria Denys

Édition

La Boîte à Bulles

Date de parution

Février 2021